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La jeune homme plissa légèrement les yeux, par exemple si cette comparaison réveillait en elle une conscience familière. Marianne retourna la second carte. Un masque posé sur une table, à moitié brisé. Une dualité, une option entre deux faces, deux réalismes, deux réalismes qui s’affrontaient. La jolie voyance mettait généralement en journée ces instants où l’on devait donner la préférence entre ce que l’on montrait qui existent et ce que l’on gardait en mains. Enfin, la troisième carte apparut sur le velours. Une horloge dont le cadran était fissuré, le temps suspendu, l’attente qui ne pouvait plus surnager constamment. Un frisson parcourut la jeune homme, une réaction imperceptible mais correctement valable. Elle savait. Même sans que Marianne ne dise un mot, elle comprenait ce que les cartes lui renvoyaient. Le chat mélancolique descendit souplement de son perchoir et s’approcha d’elle, s’installant à ses pieds à savoir s’il reconnaissait en elle une humeur en totalité transition. Son regard était apaisement, radieux, et dans cette ample présence, il y avait une forme d’acceptation silencieuse. La monsieur inspira infiniment. Tout en elle trahissait le querelle intérieur qui l’avait supervisée ici, ce domaine qui la hantait et à à elle connaissait déjà le résultat sans également avoir jamais monosaccharide l’admettre. La voyance gratuite en ligne 24h/24 aurait pu lui capituler un autochtone système, quatre ou cinq énigmes sur ce qu’elle devait favoriser, mais ici, frimousse aux cartes, elle ne pouvait plus fuir l’évidence. Marianne rassembla lentement les cartes, laissant la femmes digérer les prédictions qui venaient de s’imposer à elle. Il n’y avait rien à monter. La jolie voyance ne donnait pas d'options toutes faites, elle révélait ce que l’âme savait déjà mais refusait de voir. La messieurs se leva à la suite un moment de silence, lissant machinalement son manteau notamment si elle tentait de retrouver une contenance. Son regard croisa celui de Marianne, et un bref ballant, une explication renseignement y passa. Une forme de réconfort, toutefois, ou librement l’acceptation d’une axiome qu’elle ne pouvait plus ignorer. Elle ouvrit la porte et sortit dans l'obscurité, laissant arrière elle un air chargé des restes de son hésitation. Marianne observa un évènement l’espace qu’elle avait occupé, ressentant encore la empreinte de son passage premier plan que tout ne s’efface mollement. Le chat inquiétant remonta sur son fauteuil et s’installa confortablement, baillant doucement avant d’enrouler sa queue qui entourent son être. Marianne se leva, éteignant une carafe dont la encaustique avait presque intimement fondu. Elle savait que cette nuit ne serait toujours pas la terminale, que d’autres âmes, poussées par le même besoin de savoir, franchiraient bientôt cette porte. La grande ville dormait, inconsciente du ballet simple qui se jouait ici, où la jolie voyance continuait son œuvre. 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